Inde 2014

mardi 30 janvier 2024

Délicieuses crêpes vietnamiennes !

Apres la grande ville de Thanh Hoa où j'ai fait la photo avec la marchande de lampions, me voici à Bin So'n. J'ai pu y déguster des galettes de mais, de délicieuses crêpes versions vietnamiennes !

dimanche 28 janvier 2024

Happy new Year à Can Loc !

À Can Loc,  j'ai découvert ce lac bordé de palmiers avec happy new Year de la ville de Can Loc. Oui car pour une fois depuis 3 jours, la pluie de mousson avait cessé et je pouvais enfin apprécier les paysages et notamment ce lac sans le poncho vietnamien indispensable ici.

mercredi 24 janvier 2024

Dong Hoi Sa kai !

Après un voyage en train éprouvant d'Ho Chi Minh mais heureusement un train couchette pour la nuit, je suis arrivée à Dong Hoi.
J'ai trouvé un bon hôtel mais aussi le froid. 
Pas plus de 15 degrés en sortant de la gare après les 30 d'Ho Chi Minh,
Ça surprend !
Demain je vais tenter de poursuivre à vélo
Inch Allah !

vendredi 19 janvier 2024

Dien Bien Phu c'est bien bien fou !

Au retour de la gare de Saigon où j'ai pris mon billet pour Dong Hoi avant Hanoi, j'arrive à Dien Bien Phu. Et là, c'est bien bien fou. Ce n'est pas la célèbre bataille de la guerre du Vietnam, c'est une bataille pacifique mais o combien intense, incessante et sans concession de scooters qui veulent tous avancer dans cet artère surchargée d'Ho Chi Minh. 

Je trouve à l'écart, la magnifique pagode de Xa Loi. Une statue nous accueille à l'entrée, nous envoie sa sérénité après tant de tumulte. Une fois déchaussée, on se faufile dans un jardin avant de monter au temple bouddhiste. Les fidèles enfilent une grande tunique grise avant d'entrer. À l'intérieur, un impressionnant Bouddha d'or en position du lotus nous fixe du regard pendant que des dongs retentissent. Un tambour. Les fidèles, mains jointes, se tiennent debout devant leurs tabourets où est posé un livre, leurs Bibles ? Un gong est sonné par un monsieur en haut d'une tour. C'est le début de la prière. Des chants. On se prosterne sur un tapis.

jeudi 18 janvier 2024

Banh Mi Miam Miam

Ce matin, je le suis régalé d'un sandwich à Banh Mi, une boulangerie ou on vend des baguettes !
Hier, j'ai découvert le Ben Than Market, ce marché recommandé par mon hôte.  C'est un grand marché couvert mais je n'ai pas trouvé de parties typiques sinon beaucoup de couleurs. Et puis c'est bien rangé, une file de petites échoppes où on trouve surtout des vêtements. Ce qui ne change pas par rapport à l'Inide, c'est l'harcèlement des marchands pour me vendre qui des foulards, qui des chaussures, qui des lunettes. Les Vietnamiens qu'on croise dans la rue sont plutôt discrets, ne font pas attention à vous.  Là, ils n'hésitent pas à vous aborder,  à vous demander ce que vous voulez acheter et à vous conduire à leurs boutiques.
À la sortie, photo devant les belles fleurs jaunes. 

mardi 16 janvier 2024

Ok mam c'est Ho Chi Min !

Ca y est, c'est Saigon ! l'ancien nom colonial d'Ho Chi Minh ville,  la capitale économique du Vietnam où jai débarqué ce matin.

Dès la sortie de l'avion, j'ai ressenti une chaleur tropicale étouffante m'envahir. Moi qui arrive avec mon pull et ma doudoune, j'ai vite fait de les enlever ! pour partir avec mon taximan dans les rues d"Ho Chi Minh ville.

Dès le début, ce qui me frappe, c'est la nuée de scooters qui arrivent de partout comme des insectes se propageant dans les rues. Dans une avenue, je remarque des cantines de cuisiniers qui proposent leurs plats devant leurs présentoirs abrités d'un parasol. Circulation sans klaxon excessif, dense mais moins folle qu'à Calcutta. Je remarque aussi pas mal de cafés, de terrasses agréables ressemblant plus à la France qu'aux villes indiennes surpeuplees. 

On s'arrête justement devant celle d'Auguda café et le chauffeur me montre juste à côté, la City Backpackers, la guesthouse, genre auberge de jeunesse pour les voyageurs du monde... plutôt jeunes !

dimanche 14 janvier 2024

Happy end pour la story des bagages !

Il a fallu batailler quand je suis arrivée à Koweït, à l'aéroport où 'ils m'ont demandé direct le visa pour y entrer !
Mais en 2 jours, les bagages partis, je ne sais où, sont rentrés à bon port
Et c'est avec une immense joie que j'ai retrouvé ma Vagabonde .
Ici devant mon hôtel, heureuse comme un émir !

mercredi 10 janvier 2024

Tara Masjid Masjique!

Hier comme j'ai loué un vélo, jai voulu en profiter pour faire une petite escapade à la mosquée Tara Masjid
Mais pour cela il a fallu affronter un trafic incessant et stressant,
Apres plusieurs kilomètres dans des quartiers grouillant de monde, j'arrive dans Chowk Bazar. Alors là c'est le Big Bazar ! Jamais autant vu de triporteurs en file indienne transportant des gens ou des montagnes de marchandises qu'il faut tirer, pousser au milieu des passants et parfois se croiser avec d'autres. je finis à pied comme cette foule qui défile devant les échoppes de vaisselle, de belles assiettes aperçues en passant. 
Au bout la Taraa Masjid ? Et bien non, un passant me remets sur le bon chemin. Il faut revenir en arrière, remonter une quatre voies, passer dans des travaux pour trouver la rue de la mosquée. Ça y est, la récompense !
J'admire les beaux bulbes blancs ornés d'étoiles bleues de Tara Masjid se dresser dans le ciel et ses arches comme des vagues. Magique ! 
Quelques photos devant l'esplanade de la Star Mosque comme on la nomme. Deux jeunes filles voilées de noir ne peuvent cacher leurs sourires et leurs amusements dans leurs yeux rieurs devant cette étrange cycliste.

dimanche 7 janvier 2024

Un rickshaw dans le rickshaw !

Composition originale et colorée d'un ckshaw pris à travers l'ouverture d'un autre.
C'était dans le beau quartier moderne avec ses tours, ses magasins  ses petits restaus près de Baridhara
Mais la misere y est toujours présente 
Une dame et son enfant m'a encore réclamé du lait. 
Dimanche,  c'était jour des élections, plein d'affiches partout,  des bureaux de vote, des groupes de discussion auxquels jai participé .
Changeront-elles quelque chose ?
Peu de gens y croient ici.

samedi 6 janvier 2024

Zoé mère Teresa !

Jai rencontré Taslima et sa petite fille Luna dans la rue.
Elle m'a réclamé du lait pour son bébé.
Elle a tellement insisté qu'on est allé au supermarché en face acheter du lait et ije l'ai invitée à la cantine de rue ensuite.
Photo obligé avant de se quitter.
J'espère qu'elle a passé un bon moment au moins une pause pour ses problèmes. 

6 janvier

Samedi 6 janvier, et en plus, j'ai l'impression encore plus qu'à Calcutta qu'il me voit comme un émir arrivant dans leur pays pauvre et qu'ils veulent tirer profit de ma richesse. Par exemple, l'hôtelier me réclame ses sous mais oublie de me donner une serviette. Je me lave et m'essuie avec une couverture

Pause the ai Mohammadia restaurant où le serveur au bonnet blanc me reconnaît. Il m'installe dans un compartiment séparé de la salle principale. Je pense qu'il est réservé aux familles comme au Pakistan ou en Turquie, marque d'un pays musulman. Je lui commande un nan que je trouve au goût comme une crêpe

 Assise seule à ma table pour écrire ma page du jour, c'est royal ! Un couple vient s'y installer. Elle est voilée d'un grand voile rouge

Il recouvre sa tête et un masque noir dissimule le bas de son visage. On ne voit que ses yeux ! Elle enlève le masque. Quel joli visage ! En route pour des takas ! Un rickshauw m'emmène et arrive dans un quartier plus moderne avec de grandes tours. Incroyable à deux pas de bharidara ! Mais on ne trouve pas de banque sinon des distributeurs qui refusent de me livrer leurs précieux billets. Il me saoule. Un autre prend la relève. Ça y est. La machine consent enfin à déglutir mes takas demandés. Je peux laisser au Rickshauw sympa une belle récompense et m'installer en terrasse de l'oqmo. Ça semble incroyable, le Bangladesh, en tout cas dans la capitale et dans ce quartier, semble plus près de l'Occident que de l'Inde. J'ai fait la connaissance de Taslima et de sa petite fille Luna. Elle me réclame du lait et du riz pour son bébé. Je l'invite à ma table. pendant que je bois mon café, elle m'attends patiemment tout en discutant et allaitant son bébé. Dès que j'ai fini, on traverse la rue pour le supermarché lavander où on trouve le lait. Je poursuis ma mère Teresa en l'invitant dans une cantine de rue voisine. On partage une galette et du riz chicken pour elle.

Dac pour Dakka !

Et voilà j'ai enfin bougé et quitté la bouillonnante Calcutta. 
Ce fût un long voyage éreintant et stressant en bus Shyamoli qui ne molissait pas dans sa course folle vers la border du Bangladesh, n'arretant pas de slalomer à droite pour doubler,  à gauche pour se rabattre in extremis avant qu'une voiture vienne nous embrasser !
La border fût encore une fois pénible,  les deux côtés indien et bangladais rivalisant de contrôles et de demandes de papiers pour l'immigration.
Ensuite, c'est un autre bus plus luxueux avec des couchettes qui nous emmena dans la nuit à Dakka.
Là, impossible de trouver la guesthouse pourtant réservée et payée !
Finalement, on me trouve Rose Garden. Je n'y suis pas sur  un lit de roses mais ça m'a permis de me reposer de cet éprouvant voyage.

mercredi 3 janvier 2024

Les jeunes indiens, quel appétit !

C'était à un  restau de rue le Nawab.
Il y a des tables et des chaises en terrasse. Je profite de ce luxe en Inde ! Deux jeunes s'y installent aussi et mangent leurs viandes comme des morts de faim ! Ils trempent leurs nans dans la sauce et engouffrent aussi sec, le tout. Quel appétit ! De manger et de vivre ! Ça fait plaisir à voir !

lundi 1 janvier 2024

Il est minuit. Des feux d'artifice éclatent un peu partout et illuminent le ciel de gerbes d'étoiles sous la lune impassible. Ça pète ça gresille.  Ainsi a trépassé l'année explosant en plein vol de sa bel mort comme dans ce corbillard à l'arrière d'un pick-up que j'ai croisé à plusieurs reprises où l'on pouvait apercevoir à travers la vitre, un drap blanc recouvrant sans doute un corps.

Une famille sur sa terrasse fait brûler des feux de Bengale. L'enfant joue avec sa torche, la faisant tourner  faisant des dessins de feu dans les airs . Je les observe de ma fenêtre d'hôtel. Çà me rappelle la Thaïlande où je faisais de même, j'assistais au spectacle éblouissant qui embrasé la cité des anges. C'était après l'opération , donc, j'étais soulagée et ça commençait à aller mieux avec les nurses et Khem à mes soins.

Ainsi se termine l'année 2023 fêtée comme partout dans le monde. Ces feux feront-ils s'éloigner comme autrefois, les esprits maléfiques ? Faire cesser les guerres à Gaza ou en Ukraine ? On peut rêver...

Happy New Year 2024 !